11 janvier 2010
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A l'école de l'amer-acide maîtrisé et de la buva-digestibilité optimisée, Pascal Potaire m'a scotché ce we, ami Lecter amie lectrice !
Faut dire que samedi soir, la mission était lourde pour la cuvée Orbois du Domaine des Capriades (cépage Orbois),
1 - accompagner mes coquilles St Jacques sauce gingembre accompagnées de leurs endives poêlées,
2- me donner du plaisir,
3 - ne pas tuer la bête car dimanche, j'avais compète de tennis
Résultat des courses,
1 - impec, l'acidité du vin a contrecarré le gras de la sauce tandis que les arômes très amers relevaient l'iode coquillée,
2 - j'ai chiqué la quille tout seul donc j'ai pris du plaisir,
3- j'étais en pleine(s) forme(s) dimanche matin gagnant même le premier set contre un adversaire à deux échelons au-dessus du mien avant de m'écrouler par manque de condition physique (j'vois pas pourquoi, j'suis au taquet rayon lever de coude et de fourchette ?!)
A part ça, que dire de ce vin ?
Un premier nez champagnisant, voire de liqueur de champagne.
Puis, sur de l'amertume, un second nez envoûtant, un peu épicé, très frais.
La bouche, très fraîche, joue constamment sur l'amertume avec en toile de fond une belle acidité, le tout sur une rondeur suffisante.
La finale très très longue oscille sans cesse entre amère-fraîcheur-rondeur-acidité.
En fait, c'est un véritable OVNI.
Jamais bu un pif aussi amer-acide mais quand même plein et trop trop TROP buvable.
Une véritable TUERIE !!!
Après ça, j'me dis vivement le prochain match de tennis en perf comme ça faudra que j'm'en tape un carton avant !
Lire et boire maintiennent la (les) forme(s) alors ben y'a k'à !!!
Faut dire que samedi soir, la mission était lourde pour la cuvée Orbois du Domaine des Capriades (cépage Orbois),
1 - accompagner mes coquilles St Jacques sauce gingembre accompagnées de leurs endives poêlées,
2- me donner du plaisir,
3 - ne pas tuer la bête car dimanche, j'avais compète de tennis
Miam, slurp !!!
Résultat des courses,
1 - impec, l'acidité du vin a contrecarré le gras de la sauce tandis que les arômes très amers relevaient l'iode coquillée,
2 - j'ai chiqué la quille tout seul donc j'ai pris du plaisir,
3- j'étais en pleine(s) forme(s) dimanche matin gagnant même le premier set contre un adversaire à deux échelons au-dessus du mien avant de m'écrouler par manque de condition physique (j'vois pas pourquoi, j'suis au taquet rayon lever de coude et de fourchette ?!)
A part ça, que dire de ce vin ?
Un premier nez champagnisant, voire de liqueur de champagne.
Puis, sur de l'amertume, un second nez envoûtant, un peu épicé, très frais.
La bouche, très fraîche, joue constamment sur l'amertume avec en toile de fond une belle acidité, le tout sur une rondeur suffisante.
La finale très très longue oscille sans cesse entre amère-fraîcheur-rondeur-acidité.
En fait, c'est un véritable OVNI.
Jamais bu un pif aussi amer-acide mais quand même plein et trop trop TROP buvable.
Une véritable TUERIE !!!
Après ça, j'me dis vivement le prochain match de tennis en perf comme ça faudra que j'm'en tape un carton avant !
Lire et boire maintiennent la (les) forme(s) alors ben y'a k'à !!!