Il suffit d'une bête mise en scène, ami Lecter & amie lectrice,

pour qu'un ingrédient à la noix

en magnifie un autre

et que l'ensemble devienne miamveilleux !

Merci Gérard Vives pour cette recette à piquer dans Poivres !

Lire et boire - un Savennières, sur ces Gambas à la aux Noix, ça va bien... mais un Savagnin, c ptêt plusse bien -  maintiennent la(les) forme(s) alors ben y'a k'à !!!

PS : next week, la corne recette libanaise qui va enjoliver mon birthday !

Bon, j'suis pas fan ni fier de ma tof mais, comme pour Splash !, l'essentiel est dans l'plat, ami Lecter & amie lectrice.

Et donc, splash vlan chebam plouf, Casarecce all'amatriciana !!

Des tomates (du jardin), de la ventrèche (poitrine, lard, lardons par défaut), bouillon de poule (tjs le fameux restant de, congelé in the fridge), 1 oignon, piment d'Espelette, vinaigre balsamique, huile d'olive, basilic (jardin !), parmiggiano reggiano... une bouteille de vin rouge épicé léger... et et et de l'huile de coude pour une recette tout ce qu'il y a de plus équilibrée... en ce début de printemps...

Faire compoter l'oignon dans l'huile d'olive et, à part, revenir la ventrèche lardonisée à sec avant de la déglacer au balsamique (c ma touche perso).
Réunir le tout et y ajouter tomates + bouillon.
Goûter le vin pendant que la sauce réduit...
Ajouter piment et basilic quelques minutes avant de servir, chaque convive aspergeant ensuite son assiette de parmesan plus ou moins généreusement selon son goût... (fiston, si tu m'lis, non non non, pas plus de parmesan que de pastas, ça coûte une blinde, le vrai parmesan !).
Arroser avec le restant de vin... s'il en reste... sinon, ouvrir une seconde quille...

Sieste, dodo, rompich, etc.

Lire et boire - un vin rouge léger, mais un peu épicé/relevé, type Pineau d'Aunis de Touraine ou Malbec floral, sur ces pastas all'amatriciana, ça l'f'ra grave - maintiennent la(les) forme(s) alors ben y'a k'à !!!

L'avantage d'avoir un jardin, c'est de pouvoir le cultiver et d'en manger - parfois - le produit.
Tomates, poivrons, courgettes, fraises... c'est la fête des primeurs !

Par ailleurs, chez nous, on adore la pasta. On ADORE.
Fut un temps, j'en mangeais même le matin...
Et puis, en ce moment, c'est OA (Open d'Australie) donc il faut des calories pour tenir 5 manches...

Et moi, j'aime tant ça que ma femme m'en offre même à Noël !

La Pasta di Aldo, c'est pas beau, ça ?!

Alors si l'occasion existe de mêler cadeau et récolte perso, faut sauter d'ssus.
Yallah !!!

Pappardelle al pesto

Je passe vite fait sur la cuisson des pâtes :
1 litre d'eau pour 100g de pasta, gros sel et huile d'olive (secret de marcheurs italiens dévoilés dans les Dolomites lorsque, dans une autre vie plus spirituelle, j'écumai l'été la botte)
Jeter la pasta dès ébullition puis tourner et goûter souvent jusqu'à l'al dente que l'on stoppe en plongeant rapidement les pâtes dans l'eau froide avant d'égoutter et de lier à la sauce.

Quant au pesto,
Récolter son basilic à grosses feuilles, le laver et l'effeuiller,
Mixer pignons de pin (100g), Parmiggiano Reggiano (idem est), basilic à profusion et jus d'un citron,
Et monter à l'huile d'olive
Ajuster l'assaisonnement (achtung le sel) et napper la pasta puis à taaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaable !

Et avec ça, on boit quoi, ami Lecter & mie lectrice, hein ?
Un Chardonnay d'Auvergne par exemple.
Pour les z'aficionados, un Bordeaux blanc sec voire un blanc sudiste... bref, un vin blanc fruité mais sec, avec un peu de gras et du répondant.

Et vlan, sur les hanches !

Lire et boire maintiennent la(les) forme(s) alors ben y'a k'à !!!

Un printemps 2012 actuellement bien glagla bien venventeux et bien floflottouilleux, ami Lecter & amie lectrice, et ce sont les vignes qui ne rigolent pas, après des chaleurs estivales qui en avaient accéléré le débourrement.

Certaines ont même pris le gel et les récoltes de ce nouveau millésime - le premier véritablement labellisé bio de A à Z - risquent d'être sérieusement réduites.

Les légumes subissent aussi les affres de ce space climat et il faut parfois leur trouver une utilisation moins... cruditéale pour équilibrer notre alimentation... Ainsi, cette Moussaka tradi a t elle permis d'allier l'utile à l'agréable, à savoir manger 5 fruits et légumes en un jour et se réchauffer la carne.

Ah ben , la moitié est déjà baisée...

Mais réchauffée, l'aut'moitié est bein meilleure !

Allez, ami Lecter & amie lectrice, rien qu'pour toi, reuh-cette :

Au préalable, réaliser une bolognaise de viande d'agneau hachée (ou de boeuf pour les réfractaires)

puis

Frire dans l'huile d'olive, pdts et poivrons émincées ainsi que des lamelles d'aubergines dégorgées

then

Préparer une béchamel, à l'huile d'olive (qui remplace donc le beurre)

pour enfin

Monter l'ensemble, en alternant, dans un plat beurré au préalable, tranches d'aubergines, pdts et poivrons émincés, bolognaise de viande, aubergines, pdts et poivrons émincés etc. en finissant par une couche d'aubergines.

Arroser de la légère béchamel que l'on peut couvrir de fromage rapé (histoire d'alléger un peu le plat) et passer au four 2 bonnes heures à 180°C, en achevant le gratinage - si nécessaire - grace à la fonction grill de votre four multi-fonctions préféré.

Et voilà, une bonne demie journée nickée en cuisine et une semaine de votre régime de printemps baisée en une bouchée font de ce plat printanier un must du moment afin de tenir face aux derniers frimas printaniers.

Et que boire avec cette Moussaka, ami Lecter & amie lectrice, hein, que boire ?
Des vins rouges méridionaux (pas trop puissants non plus, si la bolo est au boeuf) type St Chinian, Faugères, Pic-Saint-Loup, Corbières, Côteaux du Languedoc, Lirac, Côtes du Rhône etc. feront nickel la nique à sa mère, la Moussaka ! Mais ça, j'en causerai uuuuuuuuuuuuuuuuuuuuultérieurement sur ce blog...

Lire et boire maintiennent la(les) forme(s) - surtout les formes - alors ben y'a k'à !!!

Coup de pompe du jour : une publicité radiophonique diffusée depuis le 15 mars sur nos ondes Foiro-Merdeuses !

D'abord, moi qui ai connu la révolution des dites ondes, se rendre compte kon a battu l'pavé afin que les radios soient libres pour in fine entendre le jus galimatiesque quotidien répétitif et monotone de ces usines sonores à spots audios vantant la banque machin ou l'assurance bidule, ça m'fout la gerbe !
M'enfin...
Hormis quelques émissions éducatives, néanmoins toujours entrecoupées de pubs de merde ki nous prennent trop pour des cons de consommateurs lobotomisés, quelle soupe !
Ptêt pour ça que j'l'écoute presque jamais cette putain d'radio?!

Ensuite, (même si mon auto-radio n'est pas du dernier cri, il est kan même doté de la fonction RDS) comment se fait-il que je sois encore obligé, pendant un trajet un tant soit peu trans-départemental, de trifouiller le sus évoqué poste afin de ne pas perdre le fil foireux de l'émission que j'affectionne et ce, en plein XXIème siècle, siècle de la convergence J6Mesque ?!
Et encore, quand je ne traverse pas une de ces p... de " zones blanches "...

Enfin, et c'est l'objet principal de mon courroux - non guyanais - du jour, c'est koi ce bordel de pub de chier de merde un 15 mars, alors kon sort de 3 mois de gel, pour des fraises, espagnoles de surcroit donc engraissées et pesticidées à mort, à 2,40€ le kilo ?!
Nan mais de qui se fout cet hyper de mes deux ?
De nous, of course.
Des fraises en mars à ce prix, ça dépasse l'entendement (pas de Coffe, on l'a deviné depuis son retournement de veste publicitaire, il gâtouille JPC).
J'aimerais beaucoup entendre ces messieurs professionnels du bénéfice, de la marge arrière et autres conneries gondolesques à ce sujet (plus grosses fortunes de France kan même ces salopards...).
Quoique non, ce serait encore pour nous jeter, tels nos politicons, de la poupoudre à nos yeux parfois myomyopes.


Du coup, une seule solution, ami Lecter & amie lectrice : BOYCOTT !!!

Attends la saison des fraises, attends les fraises de terre sans saloperies ajoutées, attends les fraises à un prix raisonnable pour les uns (les producteurs) et les autres (les consommateurs) et tu ne les apprécieras que plusse ! Nan mais.


Lire et boire, mais aussi rester conscient, maintiennent la(les) forme(s) alors ben y'a k'à !!!